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Actualités

NOS ANIMAUX DE COMPAGNIE RISQUENT-ILS D’ÊTRE INFECTÉS ET/OU DE TRANSMETTRE LE NOUVEAU CLADE (IB) DU VIRUS DU MPOX (EX-VARIOLE DU SINGE)

APRÉS LE CLADE IIB EN 2022, LE CLADE IB DÉCLENCHE UNE NOUVELLE ALERTE MPOX EN 2024

Par Nadia HADDAD1 et Jeanne BRUGERE-PICOUX

L’ORIGINE ZOONOTIQUE DU MPOX EXIGE DE RESTER VIGILANT

Lire l'article BAVF 2024 ICI

 

 

Les animaux hors d’Afrique peuvent-ils être concernes par la
flambée de monkeypox en cours, voire en devenir des acteurs
importants

Nadia Haddad, Christophe Cordevant

Résumé
La flambée extra-africaine inédite de monkeypox questionne sur le risque de transmission du virus Monkeypox (MPXV) à des animaux des pays nouvellement infectés et sur leur capacité à servir d’hôtes de liaison, voire à constituer des réservoirs autochtones pour cevirus zoonotique. Cette question est d’autant plus légitime que le rôle de réservoir de petits mammifères, rongeurs et écureuils en particulier, est fortement suspecté dans les pays d’Afrique centrale et de l’Ouest traditionnellement infectés. De plus, plusieurs espèces d’autres continents se sont montrées réceptives voire sensibles et capables de retransmettre le virus à d’autres animaux et/
ou des humains. 

Du fait de la réalité de la transmission interhumaine, il devrait être recommandé, par principe de précaution, d’éviter tout contact et toute proximité entre les humains susceptibles d’excréter le virus et les animaux de compagnie, dont les NAC, les rongeurs synanthropes et les écureuils, afin d’anticiper tout risque même théorique d’infection.

LIRE l'article BAVF 2022 ICI